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[ L : 6 2 r - b ]

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(1)

Le Roman

—revision

de Renart , Br. XXV du texte d'E. Martin —

FUKUMOTO Naoyuki

it r vos traiez ca d'une part;

Un fauble dirai de Renart Qui de Hersent s'est departiz.

Il s'an torna par un larriz Tant qu'il vint a une grant voie , Entre .I. champ et une moie . Garda avant, ce of dire, Tant que it vit et se remire , Une croiz desus .I. chemin Qui mout estoit pres d'un sapin, D'un home qui i fu murtriz De ses ennemis desconfiz;

Tue l'orent si ennemi.

Cil parant, li plus pres voising, Cele croiz firent landemain;

Ne tarderent, mais main et main Li assistrent desus son chief...

Ont a terre a for piez botee Et une plainche bien dolee Ont entre les .II. croiz assise;

[L: 62r-b]

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12

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20

Et bien les tient et fait jostise.

Sor la pierre of .I. marregler Qu'entaillie i ont li bergier.

La se seoient per a per

Que je vos sai mout bien nommer:

Li .I. est li fremiz Fremonz, Blans li hermines li seconz, Et li tiers fu Thieberz li chaz, Et Ros li esquiriaux li quarz.

S'orent une andoille trovee Qui mout estoit bien conraee.

Ne sai cui ele fu cheue, Mais cist .IIII. 1'ont receue.

En poinne sont et en tormant Que la partissent igalmant;

Enmi est grosse et graille au chief, De ce est mout granz li meschief;

Quar cele fu par tot honie, Legieremant fust departie.

Tant ont dit et tant ont pule

24

28

32

36

40

17/18 mq. au mains un vers — 21 bie lire bien — 30 a. trove — 35 1. partissent i.

Cette etude est subventionnee par be Ministere de 1'Education nationale du Japon .

3Z len VD-VC) iff5-1,1K*

(2)

2

Que tuit ensanble ont esgard'e;

As marrelles la jueroit, Li quex d'aux trestote l'avroit.

Entre Ros et Thiebert le chat Andui estoient d'une part, Si que l'uns l'autre ensoigneroit

Se nus d'aux mestraire voloit.

Fromonz et hermine la blanche Ont andui d'une part la planche;

Bien puet li uns l'autre ensoignier Quanqu'il porra au marreglier.

I1 l'avoient trestot en peis, Et marrelles i avoit pres.

Mes encor ne sevent a dire Qui dou geu soit miadres ne pire, Quant lors danz Renars aparut.

Si conme Faisius traire dut, Garda avant par aventure,

Vit le venir grant aleiire.

Il for crie : "Fuiiez, fuiiez!

Fil a putain, ne vos targiez."

Si con ce of dit li Faissiax, Et li chaz qui mout fu isneax L'andoille prant, sor la croiz monte;

I1 ne dote ne rois ne conte.

Et tuit li autres compaignons S'anfuient tuit a garison.

Renart a Thiebert esgarde, Et cil li a le dos tome.

"Thiebert

, dit il, es tu ce la ? "

Adonc primes le regarda.

"Et dont vienz tu or , Renardin ?

—De cest bois ci, biaux douz eosin Porquoi es tu laissus montez

—Quar plus seiirs en sui assez.

—Comant , fait il, doutez nelui ?

2v-a]

44

48

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56

60

64

68

72

76

—Oil . —Et cui ? —Toi et autrui.

Porquoi ? —Quar tel chose teing ci Dont j'avroie le cuer marri

Se par malveste le perdoie. 80

—Ha , ce que est ? A hi dont proie ?

—Oil . Si ne le puis savoir ?

—Oil , mes n'an puis riens avoir.

—Di , va, ce qu'est ? Comant a non ? 84[62v-b]

Di, va! —Andoille l'apelle on.

—Comant , dit il, et par quel art ?

—Ja voir n'an goteras , Renart,

nnAr rnmnaignong hi a. 88

Quar autres compaignons hi a.

--- Ou sont ? " dit il. "Tres bien le sa.

—Aussinc i avrai je ma part .

—Renart , trop i es venuz tart."

Renart se fist mout corrociez, Sovant a ses grenons lechiez;

Li angoissous mout se defripe, Mout art, mout frit, mout se delippe.

Sovant ses yeuz laissus rehuille;

Sor lui n'a mambre ne se duille.

L'andoille iert .1. poi entamee, Plus l'esgarde, plus li agree.

Bien voit Renart n'an avra mie Se granz baraz ne li ayie.

De grant engin s'est porpanssez, Desor la plainche en est montez;

N'i a gaires este en pais, Quant resaut jus tot a .I. fais;

Ses piez bota en l'erbe drue.

"Thiebert

, dit il, havez veue ?

—Et qu'est ce , Renart, qu'avez pris

—Par Deu , ci a une soriz. "

Quant Thiebert of ce nommer, La riens que it puet tant amer, A la soriz tant entandi

92

96

100

104

? 108

112

47 nus — que danz corr. par corr. par

50 B. puent 1. — 56 lors avec s ajoute posterieurement Renars a ete ajoute d'une main plus recente — 64 Lad P. Chabaille — 89 1. sai — 92 R. fe s. exponctue — 93 E. Martin

; 1. aparut d. balaye; E. Martin note

oille lire L'andoille — 68 R' et th'

grenos lire grenons — 107 h. haue

(3)

Que l'andoille mit en obli.

Au retorner son pie remue, Et l'andoille li est cheiie;

Renart l'ahort ysnelemant, Et l'andoille tantost s'estant.

Thiebert fait duel sor la croiz maire Que nus ne poist plus grant faire.

"Renart

, dit il, Dex fu trahiz;

Qui vos croit, mout par est honiz.

--- Thiebert, dit il, lai moi ester;

N'ai cure de ton sarmoner.

Plus est fox qui en vos se fie;

116

120

124

Mout vos criai orainz aye, Ne me doignates regarder.

Mes orandroit me puis vanter, Je hai l'andoille a tot la hart.

Plus n'i avroiz ne hart ne part;

Ne me tieng pas a vo coisin. "

Ici prant ceste branche fin.

[63r-a]

128

Ap. 131: Explicit de l'andoille qui fui juye es marrelles

I MANUSCRIT (=ms. L):

La Br. XXVI se trouve uniquement dant le ms. L (= Paris , Bibliotheque de 1'Arsenal, 3335), ancien 195C, B.F.

"Fol

. A et 124. Fragments de comptes du XVe siecle . Utilise par E. Martin, Le Roman de Renart (Strasbourg, 1882-85); design-6 par la lettre L: decrit t . ler, p.xv. E.Martin donne par erreur a ce manuscrit le n° 3355. Parchemin, 124 feuillets, plus le feuillet A, moins le feuillet 82. 293 sur 200 millim. Ecriture du XIVe siecle , sur 2 col. Initiales en or et couleur. Renards dans le bordure du fol. 1. L'initiale du fol. 1 a ete mutilee. De la bibl. de M. de Paulmy , 'Belles-Lettres, 1724' — Au bas du fol. A; en retournant le volume , on lit: 'Chanpdenyer' — Au fol. 123, on lit: 'Johannes de Cabilon ...' Reliure en veau marbre. "(Henry Martin , Catalogue des manuscrits de la Bibliotheque de l'Arsenal, 1887, p.335.)

Au premier feuillet de garde: `B. L. 1724", et un peu plus bas: "124 feuillets plus le f. prel. A, novembre 1877." Au verso du premier feuillet de garde: en haut: "8" "Ce volume contient outre le Roman de Renard de Jacquemars Gielee plusieurs autres pieces que je n'ay pas eu le tems d' examiner." Une autre main y ajoute en bas: "Ce roman en vers est tres different de celuy qui forme l'article precedent celui ci est plus allegorique plus moral et moins herroique ." Une troisieme main y laisse encore: "voyez ma notte au roman qui forme l'article preced."

Le deuxieme feuillet de garde est un parchemin de compte oil on lit "Despense comune" en grandes lettres; le verso reste blanc.

Le texte se termine au fol. 123r-b: "Explicit de Renart si conme it fu emperieres ." Le verso est plein du griffonage par plusieurs et en bas it y a un dessein de la tete du cheval.

Le fol. 124 est un parchemin de compte qui fait la suite du deuxieme feuillet de garde .

(4)

4

II NOTES:

"Notre branche a ete composee par un jongleur mecontent de la branche XV , qui raconte que Renart avait ete dupe par Tibert le chat. Il imagina donc que Tibert et ses amis avaient trouve une autre andouille que Renart gagne en faisant croire a Tibert qu'il avait pris une souris. "(Obs., 98).

"I1 s'agit d'une simple fable ou ne figurent que des animaux . Le chat, l'hermine, l'ecureuil et la fourmi jouent a la marelle une andouille qu'ils ont trouvée; mais les joueurs sont mis en fuite par l'arrivee subite de Renard. Tibert saisit l'andouille et saute sur une croix. Le goupil feint alors d' avoir pris une souris, le mets prefer-6 du chat, la riens que it puet tant aimer. Tibert lache aussitot sa prose, dont Renard lestement s'empare." (Bossuat, 146).

P.Chabaille prise notre branche et commente: "Cette branche, d'un langage plus ancien que la precedente (=Br.XXV), a quelque analogie avec un episode du Desputement de la Mesange avec Renart (=Br.XV), ... ; mais les details, et surtout le denouement, en different entierement, et sont plus conformes au caractere de Renart."(Avertissement, x).

Comme it n'existe que le seul manuscrit pour notre branche, ses fautes ne peuvent etre corrigees que par des conjectures; mais, de doute fawon, cette branche n'a pas "d'autre valeur que de completer le recueil des aventures de Renart." (Ex. crit., 43).

v. 3

v. 4 v. 6 v. 14

v. 21

v. 26

derniers vers que Renart quittait Hersent. Peut-etre etait-ce la branche II sous la forme de la classe ."(Obs., 98).

Nous devons a G. Tilander l'elucidation du terme "larriz"; cf, Rem., 152-59.

"mole" (n . f.): P.Chabaille le note="meule de grain ou de foin". (Chab., 13).

E. Martin propose: "Au v. 14 la rime est facile a corriger: it faut ecrire ami au lieu de voisins. (Obs., 98).

I1 semble que le passage voudrait dire que deux croix traversees par une planche servaient aussi de gibet.

le fremiz Fremonz: (aussi Fromonz 48)

P. Chabaille note (p. 14): l'anon, et cite un passage de Renart le Nouvel; Bauduinz i fu et Fromonz / Fil Timers... (t.IV, p.129).

Mais E. Martin pense que "li fremiz Fremonz pourrait etre le meme que Frimauz li putois de la branche XXIII: en ce cas les quatre animaux qui jouent a la marelle seraient a peu pres de is meme espece: le chat, l'hermine, l'ecureuil et le putois.

Mais on preferera une autre conjecture, d'apres laquelle ce serait Pane Fromond, qui est cite dans la variante I 181: "(Obs., 98). G. Tilander refute ces deux opinions et conclut: "Dans Ren. les animaux les plus différents figurent souvent ensemble, et je ne vois aucune raison pourquoi les quatre animaux de cette br.

seraient necessairement de la meme espece. — Fremiz est une autre forme de fromiz

"fourmi"

, et le plus naturel est de voir ici cet animal-la."(Rem., 184). Il dit aussi:

"Il se peut que comme surnom de la fourmi Fromonz ... ait ete mis en rapport, par une sorte d'etymologie populaire, avec le radical du sb. froment, la croyance paraissant tres repandu au moyen age que la fourmi se nourissait de froment seulement;... Cette croyance provient sans doute de la ressemblance entre les radicaux de froment et fromi. "(Rem., 185).

Cf: Godefroy, t. IV-85 = La Curne de Sainte-Palaye, t.VI-314: fremi=formi (s.

(5)

v. 42

v. 48

v.

v.

v.

v.

v.

49

57

72

84

89

m.) fourmi.

marrelles: "Le jeu de merelle ou marelle, tres en vogue avant l'invention des cartes, se joue sur une espece d'echiquier coupe de lignes qu'on tire des angles et des cotes par le centre. Les deux joueurs ont chacun trois jetons qu'ils placent alternativement a l'extremite de chaque ligne, et celui qui les range le premier sur un meme cote gagne la partie. On nomme aussi marelle un autre jeu d'enfants, ou les joueurs poussent a cloche-pied un petit palet dans chaque cane d'une espece d'echelle tracee sur le terrain."(Chab., x).

Le jeu de marelle qu'on chante dans "Cerisiers roses et pommiers blancs"

serait ce deuxieme cas.

hermine la blanche: Faut-il consid'erer hermine comme le nom propre ainsi que chez P. Chabaille et E. Martin ? Celui-ci ne relegue ce nom dans sa "Table alphabetique". Hermine etant le nom m. et f ., l'hermine de ce vers doit etre le meme personnage que celui dans le v. 27: Blans li hermines.

planche (n.f.) : Quoique G. Tilander etudie bien ce mot dans son Lexique, le sens reste obscur dans ce passage. Pourrait-on traduire: "les deux, la fourmi et l'hermine, ont eux aussi de la ruse"(? ).

Faisius; (cf, v. 62 li Faissiax) : "Chab. volt dans Faisius v. 58 et Faissiax v. 63 le meme animal que dans fremiz Fremonz, a savoir l'anon, et il explique le second mot par "porte-faix" p. 15." (Rem., 183). Dans Obs., E.Martin se range a l'avis de

P. Chabaille apres avoir exposé son opinion d'identifier fremiz Fremonz avec Frimauz li putois de la Br. XXIII : "Mais on preferera une autre conjecture, d'apres laquelle ce serait l'ane Fromond, qui est cite dans la variante I 181: du moins cet animal porterait-il avec plus de raison l'autre nom, qui lui est donne aux vv. 58 et 63, le nom Faisius on (sic) Faissiaux (sic); cp. le nom de Pane Carcophas "Charge-faix" de l' Ysengrimus. Peut-etre faut-il remplacer au v. 26 le mot fremis par faisiaus." (98). G. Tilander, qui explique le fremiz (v. 26) comme une autre forme de fronriz "fourmi", nous montre que Faisius, Faissiax (<fascis) sont aussi le nom de la fourmi: "De plus, le nom porte faix, Faissiax, est tres a propos appliqué a la fourmi, parce qu'elle traine toujours de petits fardeaux. "

(Rem., 184). Si l'on admet que Faisius soit un surnom d'un de ces quatre personnages (Fremonz, Blans, Thieberz, Ros), it serait naturel d'y voir celui de Fremonz, qui pourrait bien probablement etre "la fourmi". G. Tilander ne l'effleure rien dans Rem. ni dans Lex., it nous reste a eclaircir l'existence de l'article defini devant Faissiax au v. 62; ne faut-il pas le traiter comme le nom propre et serait-il mieux d'ecrire li faissiax ainsi que hermine la blanche au v. 48 Renardin : Tibert le chat appelle ici Renart Renardin; nous savons déjà Renardier (Br. XIV) ou Renardet (Br. II) comme un sobriquet de Renart.

(aussi v. 85) Di, va : P. Chabaille note: "Cette locution, sur laquelle on a fait de savants commentaires, nous parait un gallicisme qui peut se traduire par: Allons,

dis; parle, je t'en prie." (16).

sa : E. Martin propose : "il faut lire hai: sai (v. 88: 89)" (Obs., 98).

Mais sa pourrait etre aussi la forme de la premiere pers. sing. de l'indicatif: "Sa...

(6)

6

peut resulter de l'absorption du y de sai dans la prepalatale suivante." (P. Fouche, Morphologie historique, Le verbe, p. 151)

v. 111 it puet tant amer : un exemple de pooir pleonastique (Lex ., 128).

v. 131 Ici prant ceste branche fin : Nous trouvons ici le vers final tout a fait pareil que celui de la Br. XIX.

III G LOSSAI R E :

ahort (autre forme du pres. ind. de aerdre) 116 prendre , saisir (Lex., 12) boter 18 mettre, placer

conraee 31 preparee, prete

defriper, soi 94 etre emu de colere, de chagrin delipper, soi 95 se lecher les levres (Lex ., 48-49) desconfire 12 vaincre, abattre

ensoignier (autre forme de enseignier) 45, 50 instruire (Lex ., 63) esgarder 41 etre d'avis, decider

fais, a .1. 105 d'un coup garison, s'enfuir a 67 se sauver hart, ne ne part 129 rien du tout jostise (n.f.) 21 gibet, fourches patibulaires

larriz (n.m.) 4 pente de colline, terrain en pente (Lex ., 95) legierement 39 promptement, rapidement

main, --- et 16 tout de suite (Lex., 100) maire 118 plus eleve

moie (n.f.) 6 borne

marregler 22, marreglier 51 tablier pour le jeu de marrelle (Rem ., 183) meschief 37 mesaventure

mestraire 47 tricher

per, a 24 corps a corps

pres, voising 14 amis, parents (Lex., 129) quex (n.m.) 43 champion

recevoir 33 accepter, admettre

rehuillier 96 rouler (en parlant des yeux) traire 57 jouer ?

IV INDEX DES NOMS PROPRES :

Blans (li hermines) 27 l'hermine Deu 109, Dex 120 Dieu

Faisius 57, li Faissiax 62 un surnom de Fremonz Fremonz (li fremiz) 26, Fromonz 48 la fourmi Hersent 3 la louve, femme d'Ysengrin

Renart 2, 68, 87, 91, 92, 100, 108, 116, 120; Renars 56; Renardin 72 le goupil Ros (li esquiriaux) 29, 44 l'ecureuil

Thiebert (li chaz) 44, 68, 70, 107, 110, 118, 122; Thieberz 28 le chat

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Reference :

Chab. = P. Chabaille, Le Roman du Renart, supplement, variantes et corrections, Paris, Silvestre, 1835.

Ex. crit. = E. Martin, Examen critique des manuscrits du Roman de Renart, Bale, Schweighauser,

1872.

Obs. = E. Martin, Observations sur le Roman de Renart, supplement de l'edition du Roman de Renart, Strasbourg, Trubner, 1887.

Rem. = G. Tilander, Remarques sur le Roman de Renart, Goteborg, 1923.

Lex. = G. Tilander, Lexique du Roman de Renart, Goteborg, 1924.

Bossuat = R. Bossuat, Le Roman de Renard, nouvelle edition, revue et mise d jour, illustree, Paris, Hatier, 1967.

1991. 10N.F.

参照

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